je m'installe
également
l'armée est en formation
excellent topic
Les Gentils qui ne creusent pas de tunnels
Le 11 janvier 2024 à 23:36:39 :
Les Gentils qui ne creusent pas de tunnels
pardon?
Le 12 janvier 2024 à 19:08:20 :
Le 11 janvier 2024 à 23:36:39 :
Les Gentils qui ne creusent pas de tunnelspardon?
je n'ai pas compris non plus
Le 11 janvier 2024 à 23:36:39 :
Les Gentils qui ne creusent pas de tunnels
discours intrigant que voilà
Le 12 janvier 2024 à 19:10:10 :
Le 11 janvier 2024 à 23:36:39 :
Les Gentils qui ne creusent pas de tunnelsdiscours intrigant que voilà
en effet je n'ai pas compris un traître mot
encore debout le topic?
Le 12 janvier 2024 à 19:08:20 :
Le 11 janvier 2024 à 23:36:39 :
Les Gentils qui ne creusent pas de tunnelspardon?
Ah quiproquo de ma part. J'ai cru que vous parliez d'une certaine définition de gentil, et je faisais référence à la news autour des tunnels à New York.
Si vous avez rien compris, laissez tomber
Le 12 janvier 2024 à 19:55:22 :
Le 12 janvier 2024 à 19:08:20 :
Le 11 janvier 2024 à 23:36:39 :
Les Gentils qui ne creusent pas de tunnelspardon?
Ah quiproquo de ma part. J'ai cru que vous parliez d'une certaine définition de gentil, et je faisais référence à la news autour des tunnels à New York.
Si vous avez rien compris, laissez tomber
et non même si le sujet mérite d'être traité
bonjour, je me permets
Le Dormeur du val
C’est un trou de verdure où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes des haillons
D’argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons.
Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l’herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.
Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.
Arthur Rimbaud, octobre 1870
je recommande cette analyse https://www.youtube.com/watch?v=4VxVD4B2Gnk
Le 13 janvier 2024 à 17:56:28 :
Le Dormeur du valC’est un trou de verdure où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes des haillons
D’argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons.Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l’herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.Arthur Rimbaud, octobre 1870
je recommande cette analyse https://www.youtube.com/watch?v=4VxVD4B2Gnk
très bon poème
Le 13 janvier 2024 à 17:58:12 :
Le 13 janvier 2024 à 17:56:28 :
Le Dormeur du valC’est un trou de verdure où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes des haillons
D’argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons.Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l’herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.Arthur Rimbaud, octobre 1870
je recommande cette analyse https://www.youtube.com/watch?v=4VxVD4B2Gnk
très bon poème
à chaque fois la chute me surprend
Le 13 janvier 2024 à 17:59:27 :
Le 13 janvier 2024 à 17:58:12 :
Le 13 janvier 2024 à 17:56:28 :
Le Dormeur du valC’est un trou de verdure où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes des haillons
D’argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons.Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l’herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.Arthur Rimbaud, octobre 1870
je recommande cette analyse https://www.youtube.com/watch?v=4VxVD4B2Gnk
très bon poème
à chaque fois la chute me surprend
je recommande cette chanson https://www.youtube.com/watch?v=wMQbcGNs9kg
Le 13 janvier 2024 à 18:01:21 :
Le 13 janvier 2024 à 17:59:27 :
Le 13 janvier 2024 à 17:58:12 :
Le 13 janvier 2024 à 17:56:28 :
Le Dormeur du valC’est un trou de verdure où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes des haillons
D’argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons.Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l’herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.Arthur Rimbaud, octobre 1870
je recommande cette analyse https://www.youtube.com/watch?v=4VxVD4B2Gnk
très bon poème
à chaque fois la chute me surprend
je recommande cette chanson https://www.youtube.com/watch?v=wMQbcGNs9kg
original comme intro
Le 13 janvier 2024 à 18:01:21 :
Le 13 janvier 2024 à 17:59:27 :
Le 13 janvier 2024 à 17:58:12 :
Le 13 janvier 2024 à 17:56:28 :
Le Dormeur du valC’est un trou de verdure où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes des haillons
D’argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons.Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l’herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.Arthur Rimbaud, octobre 1870
je recommande cette analyse https://www.youtube.com/watch?v=4VxVD4B2Gnk
très bon poème
à chaque fois la chute me surprend
je recommande cette chanson https://www.youtube.com/watch?v=wMQbcGNs9kg
l'air a été emprunté par manaud