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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 24hmoins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 an
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Disney Interactive multiplie ces derniers temps les titres de qualité à destination du jeune public. Disney Princesse : Un Voyage Enchanté s'en était sorti fort joliment sur PS2, et ne pouvait donc manquer le rendez-vous de la Wii. On pouvait cependant craindre que cette version pâtisse d'une jouabilité approximative. Heureusement, il n'en est rien.
Issu du petit monde du jeu sur téléphone mobile, Miami Nights s'émancipe en passant sur Nintendo DS. Le titre de Gameloft y gagne au passage une réalisation tout en 3D et une jouabilité au stylet. Pour le reste, rien ou presque n'a changé.
Qu'il est loin le temps des Soldier Of Fortune d'antan. Car si la perspective de retrouver la série au mieux de sa forme vous a traversé l'esprit, vous pouvez remettre vos rêves au placard, Soldier Of Fortune Payback est exactement ce que l'on redoutait : une erreur.
Sam, Alex et Clover, les espionnes les plus plébiscitées du petit écran, débarquent pour la première fois sur Wii afin de sauver le monde d'une ribambelle de méchants plus répugnants les uns que les autres. Etc'est cette fois sous la forme d'un party-game à destination des petites filles qu'elles tentent de remplir leur mission de divertissement. Mission délicate dont elles auront d'ailleurs beaucoup de mal à s'acquitter.
Lorsqu'on tombe sur un jeu comme B-17 Fortress in the Sky, tout d'abord on n'y croit pas. On se pince, on regarde subrepticement à droite et à gauche, on cherche la caméra. Et puis il faut bien se rendre à l'évidence : le jeu existe, et il va falloir le tester.
C'est sans surprise que Final Fantasy II se profile dans le sillage du remake PSP de son aîné. Si j'éviterai de vous faire le coup du copier/coller strict, et quelque part convenu dans ce cas de figure, disons que cet épisode profite du même type, limité, d'ajouts, et entend bien jouer sur son nom plutôt que sur ses atouts afin de pousser le chaland à sortir ses gils.
Il y a un peu plus de deux ans de cela, la Gamecube accueillait le premier épisode de Battalion Wars, titre d'action/tactique à l'univers cartoon et à l'humour mordant. Le titre, développé par les Anglais de Kuju Entertainement, réussissait en effet à reprendre à son compte l'univers bien connu de la série Advance Wars tout en manipulant avec délice une foultitude de clichés. Malgré quelques défauts, le titre proposait des affrontements aussi rageurs que mignons dont on ne pouvait se tirer vivant qu'en usant de nos neurones atrophiés. Et joie, bonheur et allégresse, sa suite débarque enfin sur Wii et gomme au passage la plupart des errements de jeunesse de son prédécesseur. Chronique d'un tir de barrage magnifiquement bien ajusté.
Le succès incontestable rencontré par le premier Cooking Mama a convaincu 505 Games de remettre le couvert. Plus pétillante que jamais, Mama vous invite à enfiler le tablier et à retrousser vos manches pour réaliser de nouvelles recettes. Au passage, elle troque la dimension créative du premier opus contre une salve de défis culinaires, à relever seul ou à plusieurs. Y gagne-t-on vraiment au change, et surtout, une telle suite était-elle justifiée ?
Après la sortie d'un Ninja Council plus que décevant, nous attendions avec impatience que l'adaptation européenne de Shinobi Retsuden rende justice au célèbre Naruto sur DS. Las, cet épisode en 3D se révèle pire que le précédent.
Midway continue d'adapter en jeu vidéo les dessins animés à succès de la chaîne Cartoon Network. Heureusement, Foster : La Maison Des Amis Imaginaires est loin d'être le pire. Mais l'absence de localisation inexplicable de Imagination Invaders rentre en contradiction directe avec le jeune public visé.
Cinquième volet de la série Conflict, Denied Ops marque la volonté de Pivotal Games de renouer avec une gloire passée, depuis longtemps ternie par des épisodes qui sans vraiment démériter, n'étaient jamais parvenus à égaler le premier Desert Storm. Devenu FPS pur et dur, articulé autour d'un binôme de baroudeurs aux répliques aussi pâteuses que leur liquide céphalo-rachidien, ce nouvel opus ose la rupture et met ses rangers dans le plat. Mais comme le signalait Dolores Ombrage dans je ne sais quel volume d'Harry Potter, le progrès pour le progrès ne devrait pas toujours être encouragé.
Comme on manque d'idées chez Square Enix, on en vient toujours à la même chose : le remake. Dragon Quest, Final Fantasy, qu'importe puisque ça se vendra quel que soit le support. Toutefois si cette logique financière est aussi évidente que le suricate est le roi des animaux, le point de non-retour semble avoir été atteint avec cette adaptation PSP synonyme de trompe-l'oeil.
Cinquième volet de la série Conflict, Denied Ops marque la volonté de Pivotal Games de renouer avec une gloire passée, depuis longtemps ternie par des épisodes qui sans vraiment démériter, n'étaient jamais parvenus à égaler le premier Desert Storm. Devenu FPS pur et dur, articulé autour d'un binôme de baroudeurs aux répliques aussi pâteuses que leur liquide céphalo-rachidien, ce nouvel opus ose la rupture et met ses rangers dans le plat. Mais comme le signalait Dolores Ombrage dans je ne sais quel volume d'Harry Potter, le progrès pour le progrès ne devrait pas toujours être encouragé.
Cinquième volet de la série Conflict, Denied Ops marque la volonté de Pivotal Games de renouer avec une gloire passée, depuis longtemps ternie par des épisodes qui sans vraiment démériter, n'étaient jamais parvenus à égaler le premier Desert Storm. Devenu FPS pur et dur, articulé autour d'un binôme de baroudeurs aux répliques aussi pâteuses que leur liquide céphalo-rachidien, ce nouvel opus ose la rupture et met ses rangers dans le plat. Mais comme le signalait Dolores Ombrage dans je ne sais quel volume d'Harry Potter, le progrès pour le progrès ne devrait pas toujours être encouragé.
Les petits gars de 49 Games ont rechaussé les skis et enfilé la combinaison, les gants et les bottes. Douze mois après leur dernière production, les développeurs désormais spécialistes du genre nous proposent à nouveau de goûter aux joies d'un titre multi-épreuves de sports d'hiver. Calée dans un principe basique mais terriblement efficace, la série va continuer de nous distraire, notamment à plusieurs.
Imaginez Fight Club mais en substituant aux poings un arsenal de plomb. Ah et sans Brad Pitt ni Edward Norton, même pas de savon, désolé les filles, c'est un jeu de mecs, avec que des moches mal lavés dedans.
Imaginez Fight Club mais en substituant aux poings un arsenal de plomb. Ah et sans Brad Pitt ni Edward Norton, même pas de savon, désolé les filles, c'est un jeu de mecs, avec que des moches mal lavés dedans.
Les petits gars de 49 Games ont rechaussé les skis et enfilé la combinaison, les gants et les bottes. Douze mois après leur dernière production, les développeurs désormais spécialistes du genre nous proposent à nouveau de goûter aux joies d'un titre multi-épreuves de sports d'hiver. Calée dans un principe basique mais terriblement efficace, la série va continuer de nous distraire, notamment à plusieurs.
Qu'on se le dise, avoir les cheveux gris ne nous destine pas simplement à entrer de plein pied dans le monde obscur et terrifiant du troisième âge. En effet, depuis quelques années, Capcom a réhabilité la couleur platine en l'associant automatiquement à l'esthétisme outrancier, la classe stylisée et l'action effrénée. Et ce n'est pas près de changer puisque Devil May Cry 4 reprend ce postulat en le poussant dans ses derniers retranchements pour un résultat supérieur à l'original. Rien que ça.
Dans le sillage de Nintendogs et de son succès planétaire, Disney nous propose aujourd'hui son propre simulateur de vie animale. Bénéficiant d'un univers rassurant et d'une réalisation aussi fraîche que colorée, ce dernier n'aura aucun mal à séduire les jeunes joueurs en mal d'amis virtuels.