Derniers tests de jeux vidéo - page 695

C'est un fait, les catcheurs aiment le déguisement. Néanmoins, cet amour débridé du travestissement peut parfois poser des problèmes. Non pas à eux, habitués à déambuler en public dans des tenues aux couleurs éclatantes dignes de la célèbre mire télévisuelle, mais aux spectateurs, parfois jeunes et plongés dans de jolies rêveries. Imaginez un petit peu la surprise d'une jeune mère de famille vaquant tranquillement à ses occupations lorsqu'elle entend soudainement un : "Maman ! Maman ! Pourquoi Robin il essaie d'enfoncer la tête de Batman dans le sol ?" Voilà, messieurs les catcheurs, voilà ce que vos frasques peuvent faire à un esprit malléable. Mais bizarrement, le cadre du jeu vidéo enlève cette remarque de la bouche de l'enfant. Allez savoir pourquoi ? Peut-être parce qu'il n'a pas le droit d'y jouer en fait...

La lucrative licence Bob L'Eponge ne saurait manquer Noël. Divertissant toutes les tranches d'âge, la série enchaîne les adaptations ludiques avec plus ou moins de succès, s'attaquant un peu à tous les fronts, de la plate-forme à l'aventure. C'est aujourd'hui la famille des party games qui accueille un nouveau membre spongieux.

La lucrative licence Bob L'Eponge ne saurait manquer Noël. Divertissant toutes les tranches d'âge, la série enchaîne les adaptations ludiques avec plus ou moins de succès, s'attaquant un peu à tous les fronts, de la plate-forme à l'aventure. C'est aujourd'hui la famille des party games qui accueille un nouveau membre spongieux.

Comme dans le cas d'Harry Potter, Le Monde de Narnia est apparu à l'origine sous la forme de romans qui se voient aujourd'hui adaptés au cinéma. Tout comme pour notre sorcier, ce sont ces films qui sont à leur tour portés en jeu vidéo sur la plupart des supports existants. La DS ne pouvait donc pas rester à l'écart du phénomène Narnia et c'est avec grand bonheur que l'on accueille le premier volet de ce qui deviendra peut être une série à succès.

Quand la coquette Kitty décide d'organiser une grande kermesse, elle n'oublie surtout pas de convier tous ses amis. Pour peu que vous vous sentiez concerné par cette invitation et à condition que vous ne soyez pas allergique à la couleur rose, voici votre ticket d'entrée pour cette fête improvisée.

Comme dans le cas d'Harry Potter, Le Monde de Narnia est apparu à l'origine sous la forme de romans qui se voient aujourd'hui adaptés au cinéma. Tout comme pour notre sorcier, ce sont ces films qui sont à leur tour portés en jeu vidéo sur la plupart des supports existants. La Gameboy Advance ne pouvait donc pas rester à l'écart du phénomène Narnia et c'est avec grand bonheur que l'on accueille le premier volet de ce qui deviendra peut être une série à succès.

Trimballant sa carcasse toute recouverte de lanières de cuir depuis maintenant quelque temps, le Prince de Perse est en passe de suivre la destinée des plus grands héros vidéoludiques. Digne successeur des Kratos, Alucard, et autres guerriers agiles et charismatiques, ce dernier rend un hommage vibrant à la notion même d'aventure/action. Il est donc très surprenant de le voir débouler dans un soft clairement stratégique, reniant ce qui a fait de lui une étoile montante. Ce changement de registre va-t-il booster sa carrière, à l'image d'un Vin Diesel qui tournerait dans un film d'auteur traitant du mal être d'un plongeur pyromane ? En quelque sorte...

Discipline boudée par le monde vidéoludique, le ski alpin ne parvient pas à percer sur nos écrans. Ayant déjà tenté sa chance l'an dernier, Ski Racing revient une seconde fois, toujours soutenu par sa licence Hermann Maier. Quand la persévérance touche à l'entêtement.

Les valeurs sûres ne sont pas toujours celles que l'on croit. Alors que la dernière édition du fameux Tiger Woods avait su très facilement nous convaincre sur PC et consoles, la mouture Xbox 360 semble vouloir tout faire pour nous décevoir. En prenant le risque de refaçonner le contenu du jeu, Electronic Arts n'a réussi qu'à réduire l'intérêt du titre en supprimant une grande partie de ce qui faisait la richesse des autres volets. On se retrouve avec un assez bon jeu, mais qui aurait pu être bien meilleur si les développeurs n'avaient pas simplement manqué de lucidité.

GripShift n'est pas un jeu de courses comme les autres. Délaissant le pilotage pointilleux des simulations, mettant de côté le réalisme physique, il se rapproche un peu du principe que l'on avait déjà pu voir dans un autre titre, sur PC celui-là, Trackmania. En effet, GripShift met en avant son côté arcade, le fait que l'on puisse faire de gigantesques sauts avec son buggy sur des parcours truffés de pièges. Bref, on est à mi-chemin entre courses et plates-formes.

Une énorme gueule de requin sur la jaquette, un titre qui fait peur, mais qu'est donc Deep Waters ? Un simulateur de pêche au requin ? Un jeu d'action en eau trouble aux graphismes terrorisants inspirés des Dents De La Mer ? Non, juste un truc vachement bizarre et parfaitement injouable.

Le Fritz nouveau est arrivé !!! Dans sa version 9. L'un, pour ne pas écrire LE plus fort programme de jeu d'échecs de tous les temps nous est livré tout juste avant les fêtes dans une version totalement re-designée, encore plus fort et accompagné de quelques petits gadgets bien pensés.

Impensable. Celui qu'on attendait comme porte drapeau "next gen" de la nouvelle série de sports d'Electronic Arts, et qui d'ailleurs avait été choisi pour démontrer les capacités techniques de la Xbox 360, fait une entrée sur le terrain très discutable. Madden arrive sur la nouvelle console de Microsoft dans une version aussi alléchante visuellement que décevante sur son contenu. Après plus de quinze années de bons et loyaux services, la série serait-elle fatiguée ?

Visiblement, cette fin d'année est en quelque sorte la période d'éclosion des oeufs de Dynasty Warriors. En effet, après la venue au monde passablement chaotique de la version Hyper, voici que son petit frère goûte aux joies de l'air libre. Baptisé sobrement Advance, celui-ci montre des envies de grandeur bien moins présentes, se cantonnant à dévoiler sa guerre dans une petite GBA. Est-ce pour autant que l'intensité n'est plus au goût du jour ou que la folie furieuse se cache honteusement ? Tout ce que l'on peut dire, c'est que la surprise n'est pas forcément toujours la meilleure attaque.

Dans le monde sans foi ni loi du jeu vidéo, certains studios bâtissent leur réputation sur des séries devenues cultes, légitimant à elles seules l'attrait que les fans porteront à toutes les prochaines productions de leur nouvelle référence dans le domaine. Certes un peu réductrice, cette manière de voir les choses s'applique pourtant avec une certaine mesure dans bien des cas. Prenez par exemple SNK, un assemblage mythique de trois lettres simples, à l'origine de véritables phénomènes ayant illuminé la vénérable et hors de prix Néo-Géo. Même si les talentueux développeurs ont mis au jour de nombreuses sagas, les deux principales revenant à l'esprit à l'évocation de ce trio de consonnes restent King Of Fighters et Metal Slug. Par une bienheureuse coïncidence c'est du quatrième épisode de cette dernière que nous allons parler aujourd'hui.

Trop souvent adulés et jalousés pour leur destinée hors du commun, les hommes élevés au rang de héros mènent pourtant souvent une vie proche de celle des martyrs. Epuisé par des années d'errance et de combats acharnés, croyant pouvoir reléguer au passé sa lutte contre le Dahaka et la malédiction des sables du temps, le prince de Perse eut l'illusion de croire qu'il allait enfin connaître la paix. Mais le destin s'acharne sur les hommes valeureux, et pour la dernière fois, le héros fatigué reprend les armes pour faire face à son plus terrible adversaire : lui-même.

Trop souvent adulés et jalousés pour leur destinée hors du commun, les hommes élevés au rang de héros mènent pourtant souvent une vie proche de celle des martyrs. Epuisé par des années d'errance et de combats acharnés, croyant pouvoir reléguer au passé sa lutte contre le Dahaka et la malédiction des sables du temps, le prince de Perse eut l'illusion de croire qu'il allait enfin connaître la paix. Mais le destin s'acharne sur les hommes valeureux, et pour la dernière fois, le héros fatigué reprend les armes pour faire face à son plus terrible adversaire : lui-même.

Trop souvent adulés et jalousés pour leur destinée hors du commun, les hommes élevés au rang de héros mènent pourtant souvent une vie proche de celle des martyrs. Epuisé par des années d'errance et de combats acharnés, croyant pouvoir reléguer au passé sa lutte contre le Dahaka et la malédiction des sables du temps, le prince de Perse eut l'illusion de croire qu'il allait enfin connaître la paix. Mais le destin s'acharne sur les hommes valeureux, et pour la dernière fois, le héros fatigué reprend les armes pour faire face à son plus terrible adversaire : lui-même.

NBA Live nous rejoue le coup de FIFA, testé la semaine dernière. Autrement dit, il nous met une claque graphiquement mais a étrangement perdu un paquet de modes de jeu en comparaison avec les versions PC et 128 bits. EA n'utilise donc plus ses capacités à proposer de nombreuses possibilités pour le joueur mais se consacre entièrement à profiter des performances techniques de la nouvelle console de Microsoft. C'est beau, mais cela suffit-t-il ?

Si la série des SSX est une valeur sûre des jeux de glisse purement arcades sur consoles de salon, SSX On Tour est le premier volet à être disponible sur PSP. Cet opus n'est cependant pas une adaptation fidèle du soft éponyme sorti sur PS2, Xbox et Gamecube en octobre 2005 puisqu'il reprend en fait les pistes d'SSX 3 et les transpose dans le design propre à SSX On Tour. Voyons maintenant si la mayonnaise a pris.