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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 24hmoins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 an
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Le monde du jeu de course automobile connaît ces temps-ci une carence d'inspiration flagrante. Entre les NFSU 1 et 2, SRS, ou encore RPM Tuning, l'univers vidéoludique aux odeurs d'huile surfe sur une vague bien morne et surtout se répétant sans cesse sans vraiment innover. Une sorte de stagnation dommageable qui ternie sans cesse un univers pourtant accrocheur, celui de la nuit et des mystères urbains. Atmosphère tout autant composée d'ombres et de lumière, d'étroites rues mal éclairées et de la luminescence crue des néons. Un cadre idéal pour jouer les destinées de pilotes désireux de faire des ténèbres leur royaume. Attirés comme des papillons par les couleurs chatoyantes des enseignes agressives, ceux-ci s'empressent de rejoindre leur carcan de métal. Mais est-ce bien la peine ?
Le vent chargé d'embruns pénétrait dans les longs cheveux blonds de Terra. Un léger bruissement dû à son bandana berçait notre conversation d'une certaine nonchalance agréable. Je l'avais rencontré trois fois auparavant alors qu'elle n'était qu'une jeune fille, et elle s'était jurée de me retrouver lorsqu'elle en aurait les capacités. Le nom d'Adol le Rouge qu'elle avait prononcé aurait sans doute dû sonner à mon oreille comme l'exposition d'une carte d'identité, mais cela faisait si longtemps. J'aimerais simplement qu'on me nomme comme un ami plutôt qu'à la manière d'une légende sans vraiment de visage. Néanmoins j'étais heureux de la revoir au sein des soupirs étouffés de la grande voile et des crissements nerveux d'une coque accusant les ans. Si seulement j'avais été plus rapide. Si seulement je ne m'étais douté qu'une seule seconde que ça allait être à moi désormais de découvrir la trace de ceux qui m'ont accompagné. Peut-être que... Le destin est simplement un songe, à moi de m'adapter à la réalité.
Série ultra populaire sur PC, Unreal and Co s'intéresse de plus en plus aux consoles, enfin à la Xbox surtout. Au point qu'aujourd'hui, on a droit à une déclinaison non seulement inédite mais surtout entièrement pensée pour cette dernière. Je vous préviens, les habitués d'Unreal pourraient avoir des surprises.
Si au cinéma, le nom Matrix évoque pour beaucoup le nom de 3 bons films de science-fiction, dans le milieu des jeux vidéo, ce label est pour l'instant synonyme de déception avec un Enter The Matrix qui était bien loin de tenir toutes ses promesses. Est-ce-que ce nouveau jeu va nous réconcilier avec cette licence ? Pas si sûr...
Posant la problématique du rapport à la réalité, les jeux de billard amènent une réflexion sur le statut du sport vidéoludique. Autant s'adonner à un jeu de foot, ou de hockey sur glace demeure fun et ludiquement légitime, car on ne peut réaliser les exploits présents dans cet univers virtuel, surtout dans les conditions mises en scène. Personne n'a les capacités immédiates et suffisantes pour accéder au rêve sans un long entraînement au préalable. Alors que dans le cas du billard, n'importe qui peut s'approcher d'une table et réaliser des fautes de jeu, à l'image de celles visibles dans World Snooker, tout autant que des miracles réalisés à son insu. Dans ce cas là, pourquoi ne pas faire des simulations de Baby Foot ou de pétanque ? Peut-être parce que la science du tapis vert et des boules de couleurs s'auréole d'un côté très prestigieux, présentant des hommes en costumes, droits et sérieux. La classe quoi. Du moins à l'extérieur...
Dans les récits d'Héroic-Fantasy, il est souvent (voire toujours) question d'un grand démon désireux de détruire le monde pour des raisons souvent peu fondées, quand elles ne sont pas arbitraires. A grand coup d'armées de squelettes et de monteurs de loups, le régent des ténèbres en place s'arrange tout le temps pour mettre le feu et faire naître des maladies un peu partout afin de vivre dans son propre chaos mental. Une attitude puérile, et surtout peu élégante, du fait de l'absence de consultation des villageois sur cette prise de position. Imaginez que certains n'aient pas été d'accord... Scandant des "misérables humains" d'un côté et des "craignez ma puissance" de l'autre, le général en chef des armées obscures poursuit ses méfaits en riant à gorge déployée d'une manière forcée. Jusqu'à ce qu'un groupe de cinq humains décide de mettre un terme à cette mascarade. Heureusement, grâce à l'animation et aux RPG japonais, la donne s'est un peu modifiée pour nous présenter des trames moins manichéennes. D'ailleurs The Roots en est un excellent exemple... Ah ben non, désolé, j'ai confondu.
Empruntant beaucoup à MicroMachines, Mario Kart ou à Re-Volt, Room Zoom Race For Impact part sur des bases solides. Le seul hic est que le titre n'est pas vraiment rutilant et fait quelque peu pâle figure si on le compare au récent Mashed sur la même machine, qui n'était pourtant pas si mirobolant que ça. Mais qu'à cela ne tienne, les jeux de ce type n'étant pas si fréquents que cela sur la machine, voyons voir de quoi il en retourne.
Atari ayant fait des adaptations d'animes son giron vidéoludique, nous n'avons pas fini de voir arriver chez nous les titres prenant pour cibles nos séries animées préférées. Remarquez, je ne vais pas m'en plaindre en grand consommateur de japanime que je suis. Cette fois, il s'agit de l'adaptation de Ghost In The Shell : Stand Alone Complex, l'excellente série de Kamiyama Kenji dont les 4 premiers DVD nous sont arrivés par l'intermédiaire de Beez. Bien qu'il soit très sympathique de retrouver sur PS2 le major Motoko Kusanagi, Batou ou encore les Tachikomas, le jeu vidéo se montre-il à la hauteur du show animé ? Et bien je vous propose de parcourir les lignes qui suivent pour avoir un début de réponse.
Le monde du jeu de course automobile connaît ces temps-ci une carence d'inspiration flagrante. Entre les NFSU 1 et 2, SRS, ou encore RPM Tuning, l'univers vidéoludique aux odeurs d'huile surfe sur une vague bien morne et surtout se répétant sans cesse sans vraiment innover. Une sorte de stagnation dommageable qui ternie sans cesse un univers pourtant accrocheur, celui de la nuit et des mystères urbains. Atmosphère tout autant composée d'ombres et de lumière, d'étroites rues mal éclairées et de la luminescence crue des néons. Un cadre idéal pour jouer les destinées de pilotes désireux de faire des ténèbres leur royaume. Attirés comme des papillons par les couleurs chatoyantes des enseignes agressives, ceux-ci s'empressent de rejoindre leur carcan de métal. Mais est-ce bien la peine ?
Chez Blade Interactive, les jeux de billard se suivent et se ressemblent un peu. Même si le développeur a tenté une approche différente via sa série Pool Shark, il renoue avec la sobriété lorsqu'il s'agit de pondre une nouvelle édition à son World Championship. La version 2005 est comme ses aînées : classe, complète et entièrement dédiée aux fans de billes de couleur.
La série des Cossacks, avec ses add-on, s'est écoulée à plus de 2,5 millions d'exemplaires à travers le monde. Il était donc normal qu'une vraie suite voit le jour et c'est aujourd'hui chose faite avec Napoleonic Wars, un jeu qui ne se contente pas d'opérer un léger remaniement du titre original mais qui est véritablement pétri de nouveautés. Revue de détails.
Posant la problématique du rapport à la réalité, les jeux de billard amènent une réflexion sur le statut du sport vidéoludique. Autant s'adonner à un jeu de foot, ou de hockey sur glace demeure fun et ludiquement légitime, car on ne peut réaliser les exploits présents dans cet univers virtuel, surtout dans les conditions mises en scène. Personne n'a les capacités immédiates et suffisantes pour accéder au rêve sans un long entraînement au préalable. Alors que dans le cas du billard, n'importe qui peut s'approcher d'une table et réaliser des fautes de jeu, à l'image de celles visibles dans World Snooker, tout autant que des miracles réalisés à son insu. Dans ce cas là, pourquoi ne pas faire des simulations de Baby Foot ou de pétanque ? Peut-être parce que la science du tapis vert et des boules de couleurs s'auréole d'un côté très prestigieux, présentant des hommes en costumes, droits et sérieux. La classe quoi. Du moins à l'extérieur...
Aaaahh... les Tortues Ninja s'attaquent au roi des jeux ? Shredder ? Quelle idée d'appeler un programme de jeu d'échecs comme le méchant des célèbres pizzaïophiles carapacées ? Ok, ça n'amuse que moi mais il fallait que je la place cette blague. Voilà c'est fait, passons aux choses sérieuses. Attention !! le Champion du Monde 2003-2004 (des programmes de jeu d'Échecs) est enfin accessible au grand public, et à petit prix, compte tenu des performances exceptionnelles de ce... jeu (?!). En effet avec Shredder 8, la frontière entre jeu vidéo et logiciel d'entraînement professionnel est atteinte. Un programme à ne pas mettre entre toutes les mains.
C'est vrai qu'il est difficile de trouver une quelconque source d'inspiration en regardant déambuler un char d'assaut dans des plaines plus ou moins fertiles. D'une part, il fait du bruit, et d'autre part, il est possible, sous réserve, qu'il tue des personnes. De ce fait, il n'apparaît pas en tête de liste lorsque l'on tente de faire un classement des objets symbolisant la plénitude et la beauté. Pourtant, n'est-ce pas émouvant d'apercevoir un canon dans la lueur du petit matin, de respirer les odeurs d'essence tout juste revenu d'un tour dans des bois à moitié détruits par les tirs intempestifs d'un bon vieux Panzer ? On ne peut, dès lors, réfuter le fait que de nombreux poètes ont sublimé les tanks. Qui a oublié ces célèbres vers : "Ô Tank, suspends ton vol, et vous guerres propices, suspendez votre cours. Laissez-nous savourer les rapides délices des plus beaux de nos jours !" Une ode justifiée pour une machine de rêve et de paix.
Dire que la série des Puyo Pop est culte au pays du soleil levant est un euphémisme tant les jeux de la saga reçoivent, à chaque fois, un très bon accueil des joueurs. Il faut dire que les puzzle games ont toujours eu une place toute particulière dans le coeur des japonais et que le jeu de Sega est élevé au rang de titre culte, au même titre que Tetris, par certains gamers. C'est donc avec grand plaisir que l'on accueille aujourd'hui un digne représentant de cette série en Europe. Et on peut dire que l'on n'est pas déçu.
Toujours dans le style aventure, mais dans un tout autre registre que Syberia, MC2 nous convie à traquer un tueur en suivant deux enquêtes parallèles. Si les lieux et les époques sont différents pour chaque affaire, une chose est sûre, toutes deux mènent bien vers le même criminel. Saurez-vous remontez sa piste ?
Toujours dans le style aventure, mais dans un tout autre registre que Syberia, MC2 nous convie à traquer un tueur en suivant deux enquêtes parallèles. Si les lieux et les époques sont différents pour chaque affaire, une chose est sûre, toutes deux mènent bien vers le même criminel. Saurez-vous remontez sa piste ?
"Gotcha!", soit "j't'ai eu" en français, affiché en gros sur une boîte de jeu, ça donne un peu le sentiment que l'éditeur veut vous prendre au piège en vous vendant un soft de seconde zone quand même. D'un point de vue marketing, ce n'est pas très adroit, sauf si c'est la vérité et qu'on ne manque pas d'un certain humour culotté.
Quel bonheur que de tester un jeu sorti de nulle part et de découvrir qu'il aurait mieux fait de rester terrer à jamais au fin fond d'un tiroir d'un responsable produit. Room Zoom, c'est un peu de MicroMachines, un peu de Re-Volt, et beaucoup de foutage de gueule. Un programme qu'il est bien pour appâter le joueur n'ayant pas eu la présence d'esprit de vérifier ici ce qu'il en est réellement.
La Xbox hérite d'un nouveau jeu de méchas avec Gungriffon Allied Strike, un titre de Tecmo qui risque d'avoir beaucoup de mal à se faire une place là où le récent Mechassault 2 : Lone Wolf a déjà convaincu tout le monde. Une gageure d'autant plus ardue que ce Gungriffon est loin d'être dépourvu de défauts. Vous voilà prévenu.