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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 24hmoins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 an
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
A l'heure où tout le monde s'apprête à partir en vacances à l'approche de l'été, le jeune Harry Potter reprend avec enthousiasme le chemin de l'école pour une troisième année à Poudlard. Et pour marquer dignement la sortie tant attendue du film adapté du troisième volume de l'oeuvre de J.K.Rowling, Electronic Arts nous propose de prolonger l'expérience de la sorcellerie avec un nouveau jeu qui nous prouve que la série gagne bel et bien en intérêt au fil des épisodes.
A l'heure où tout le monde s'apprête à partir en vacances à l'approche de l'été, le jeune Harry Potter reprend avec enthousiasme le chemin de l'école pour une troisième année à Poudlard. Et pour marquer dignement la sortie tant attendue du film adapté du troisième volume de l'oeuvre de J.K.Rowling, Electronic Arts nous propose de prolonger l'expérience de la sorcellerie avec un nouveau jeu qui nous prouve que la série gagne bel et bien en intérêt au fil des épisodes.
Déjà roi du box office, Potter, le sorcier scarifié, est encore de retour pour promouvoir sur consoles ses nouveaux exploits cinématographiques. Sur GBA, sa troisième année au collège Poudlard est placée sous le signe du jeu de rôle.
Ecrire encore une intro sur les Sims devient un véritable tour de force. Tout semble déjà avoir été dit et redit sur ce jeu au succès indéniable. Pourtant, l'arrivée des Sims sur N-Gage marque un petit événement en soi. Non pas parce que les Sims ne se montrent pas beaucoup sur portable, mais parce que ça faisait bien longtemps qu'un jeu n'était pas sorti sur la machine de Nokia.
Si, tout comme moi, les vrais jeux de courses se résument pour vous à Burnout et F-Zero, la sortie du second épisode du titre de Nintendo sur GBA fait certainement office d'événement que vous guettez sans doute depuis de nombreux mois. Retrouver sur une console portable le parfait mélange entre les différentes versions de F-Zero sorties sur consoles à ce jour est désormais une réalité, et il ne tient qu'à vous de vous lancer dans la course la plus dangereuse, la plus stressante et la plus ébouriffante qui soit sur ce support.
Les développeurs russes d'Elemental Games basés à Vladivostok (oui, vous savez, la ville à l'extrême Est de la Russie) ont visiblement apprécié Freelancer puisque leur titre Space Rangers adopte un peu le même principe. Mais cela ne veut pas dire que les deux softs sont identiques. En effet, le dernier venu a vraiment une jouabilité particulière qui pourra dérouter plus d'un spationaute.
L'énorme famille des "Trucs Bidules Tycoon" ne cesse de s'agrandir avec des nouveaux titres pas toujours très inspirés niveau gestion. L'un des nouveaux membres de la smala se prénomme Seaworld Adventure Parks Tycoon, un patronyme à rallonge pour flatter l'ego des parcs à thème dont il s'inspire.
Adapté d'un jeu de plateau soit-disant super connu mais dont je n'ai jamais entendu parler (War!), War : Age Of Imperialism ne va en tout cas pas émouvoir grand-monde parmi les joueurs férus de gestion et de wargame vu sa fâcheuse tendance à tout faire reposer sur des lancers de dés aussi hasardeux que gonflants.
Pas évident de renouveler le concept éculé de la simulation de billard, genre intouchable s'il en est et difficilement susceptible de nous surprendre. Pourtant, Pool Paradise réussit à apporter un peu de fraîcheur au genre en alliant la richesse d'un vrai jeu de billard à un contexte qui efface l'austérité du genre pour un résultat somme toute fort sympathique.
Après Secret Weapons over Normandy qui vous a permis de participer à des dogfights furieux au dessus de la très belle région française, voici qu'arrive Pacific Warriors 2. Cela se passe toujours pendant la seconde guerre mondiale mais cette fois, comme son nom l'indique, c'est du côté du plus grand océan du monde que les combats vont avoir lieu. Evidemment le développeur, Interactive Vision, n'est pas de l'envergure de Totally Games et cela se sent dans la qualité générale du produit.
Ceux qui s'inquièteraient de savoir quel regard porte le divin sur l'agitation futile de l'humanité seront sans doute bien étonnés de découvrir le point de vue de l'équipe d'Enigma Software sur la question. Car si l'on en croit la vision offerte dans Angels Vs Devils, ça n'est pas très joli joli non plus dans l'au-delà. Quand le paradis affronte le purgatoire, ça donne un pseudo Quake-like pas toujours très inspiré.
Ah... Freelancer, ses combats furieux, son système de commerce, son intuitivité, son background fouillé... Artificial Intelligence Machines tente de reprendre les recettes qui ont fait le succès du jeu de Microsoft, à la différence que cette fois-ci, l'action se passe sur une planète et non pas dans l'espace.
On l'attend comme le jeu qui pourrait s'imposer comme la nouvelle référence du shooter tactique online, un titre qui vient se poser entre Operation Flashpoint et Battlefield. Et au final, à quoi faisons-nous face ? A un titre bourré de potentiel et de bugs honteux dont les ambitions se voient plombées et scotchées au niveau du sol.
La vie est faite de hauts et de bas, de plages de calme et de colère, de banalités et de surprises. Et justement en parlant de surprises, c'est avec un vif émoi que j'avais accueilli la nouvelle comme quoi nous allions avoir droit à une version PAL de Disgaea : Hour Of Darkness, ce qui aurait pu relever de la pure folie il y a seulement quelques années. Ceci m'avait fait sortir à l'époque les yeux des orbites mais je ne m'attendais pas vraiment à me retrouver face un soft aussi tripant, prenant, en un mot passionnant. Ainsi, avant de véritablement débuter ce test, commençons par lancer un grand, très grand merci à Koei qui a eu l'audace de sortir sur le marché français un RPG tactique certes difficile d'accès (de par ses nombreuses possibilités) mais qui est avant toute chose un joyau aux imperfections si minimes que le tout en devient indécent. Récit d'un titre d'exception qui marquera, nous l'espérons, le début d'une arrivée massive de RPG en Europe.
Quand on m'a dit que j'allais avoir l'honneur de tester "l'arlésienne" du jeu vidéo, j'ai tout de suite compris qu'il s'agissait de Malice. Après plus de trois ans d'attente pour un jeu qui devait faire l'apanage du potentiel de la Xbox, on ne s'attendait plus à grand chose de révolutionnaire de la part de Malice, enfin disponible en premier lieu sur PS2. C'est donc avec de tels a priori que je commençai le jeu, et autant vous dire toute suite que les choses ne se sont pas améliorées en jouant.
Les Commandos-like rencontrent de plus en plus de succès. Il faut dire que l'aspect tactique de ces titres attirent bien des joueurs à qui l'action pure ne suffit plus. Silent Storm est de ceux-là. C'est un jeu de stratégie qui se déroule pendant la seconde guerre mondiale, mais à la différence des Commandos, le dernier jeu de Nival Interactive est au tour par tour.
Près de 6 mois après les versions consoles, voici que débarque True Crime sur PC. Le jeu étant connu pour être un sympathique jeu d'action, ce fut donc avec un a priori positif que j'ouvris la boîte en espérant que l'adaptation soit réussie.
Après s'être auto-plagié en remplaçant l'hélicoptère de secours de Med Evac par un Apache pour nous pondre Operation Air Assault, les petits gars d'Interactive Vision continuent à faire dans l'original avec la suite de ce dernier titre. Inspiration quand tu nous tiens.
De mémoire de joueur, je crois que je n'ai jamais vu un jeu aussi mercantile amenant une ambiance insipide, un manque total de sensations et une technique aussi pauvre. Je me permets effectivement de préciser dès le départ que ce M&M's Shell Shocked est une véritable catastrophe et se veut donc le pendant vidéoludique en termes de médiocrité du somptueux Maze Action sur PS2. Récit d'un maelstrom de tares.
Sans vous raconter ma vie, Street Fighter 2 (Turbo pour être précis) est un peu mon titre fétiche. En effet, il fut le premier jeu accompagnant le rêve de mes nuits, la Super Nintendo, qui allait devenir par la suite mon terrain favori de RPGiste forcené. Que de souvenirs, et pas des moindres. Souvenez-vous de ces nuits entières à dompter le Hadoken, à tenter de battre Bison avec le nombre d'étoiles de difficulté maximale. Un vrai challenge pour les êtres naïfs que nous étions. Mais maintenant ce temps est révolu, ce que Capcom ne semble pas avoir compris.