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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 24hmoins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 an
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Au début de l'année 2005, NCSoft avait fait souffler un vent de fraîcheur sur le petit monde des jeux de rôle massivement multijoueurs en sortant City of Heroes. Bien loin des productions habituelles du genre tournées vers l'heroic fantasy, ce titre proposait ni plus ni moins d'incarner un super héros dans un univers qui n'était pas sans rappeler celui des comics. Rebelote aujourd'hui avec City of Villains. Une différence de taille cependant : le joueur n'incarne plus un personnage défendant la veuve et l'orphelin mais un méchant sans foi ni loi.
Plus fort que Conan, mieux habillé qu'un Snorky et accompagné par autre chose qu'une bande de chats cosmiques, Adam, prince d'Eternia vit actuellement une seconde jeunesse aux USA alors qu'en France, il reste le vieux souvenir d'enfance d'un grand blond musclé vêtu de collants roses. Et quand on voit ce He Man vidéoludique, on se dit que ça valait sans doute mieux.
Quand on vous dit qu'un ancien de Core Design fonde son propre studio pour y développer un jeu d'action, vous partez plutôt confiant. Et là, sans prévenir, ou "without warning", on vous colle dans les mains une vraie, une belle, une bonne grosse daube ludique comme on sait en faire quand vraiment on n'a cure du résultat final.
Quand on vous dit qu'un ancien de Core Design fonde son propre studio pour y développer un jeu d'action, vous partez plutôt confiant. Et là, sans prévenir, ou "without warning", on vous colle dans les mains une vraie, une belle, une bonne grosse daube ludique comme on sait en faire quand vraiment on n'a cure du résultat final.
Alors que la saison 2005 du WRC s'achève avec l'hégémonie française (Sébastien Loeb et Citroën champions du monde), le titre correspondant à cette saison nous arrive tout juste sur PS2. Ne trouvant son nom définitif il n'y a que peu de temps, cet opus se doit de tenir un rang qui l'avait poussé vers les sommets avec un excellent WRC 4. Entre arcade et simulation, le titre parrainé par Sébastien Loeb en personne est attendu au tournant par de nombreux fans du genre...
Les joueurs de Xbox vont enfin pouvoir goûter à l'un des jeux ayant fait date dans l'univers des simulations militaires sur PC, j'ai nommé Operation Flashpoint. Plus de quatre ans après la sortie de la version originale, Elite offre aux possesseurs de la console de Microsoft la possibilité de s'adonner à la guerre virtuelle.
Faisant fi de tous ces contrats d'exclusivité ayant lié Capcom et Nintendo, profitons comme il se doit de l'arrivée sur PS2 du meilleur survival-horror qui ait jamais foulé le sol de notre univers vidéoludique. Attendu par d'innombrables joueurs, Capcom ne pouvait décevoir, même si d'un point de vue technique, il était évident que les différences seraient bel et bien visibles entre cette version et celle sortie sur le Cube il y a plusieurs mois. Mais au delà de cet aspect, force est de reconnaître que cette mouture PS2 dépasse nos espérances les plus folles tant dans la forme que dans le fond. Chronique d'un plaisir renouvelé sur le monolithe noir de Sony.
Tout au long de son impressionnante carrière, Mario s'est déjà essayé à de nombreuses disciplines. Mais, il y en a une qu'il n'a encore jamais approché : la danse. Pourtant, quand on le pousse, le petit père se laisse aller et bouge son popotin comme personne. La preuve en images et en musique avec Dancing Stage : Mario Mix.
Paradoxalement, alors que nous approchons tranquillement mais sûrement d'une date charnière dans l'histoire du jeu avec le renouvellement des consoles de salon, il semble que jamais l'industrie ne s'était autant regardée le nombril que depuis ces derniers mois. Les compils d'anciens titres sortent à un rythme effréné nous rappelant tous à nos bons souvenirs mais nous prouvant aussi que le support a quand même vachement évolué en deux décennies.
Second épisode d'une série dirigée et intensément réfléchie par Testuya Takahashi (le père de Xenogears), Xenosaga Jenseits Von Gut Und Böse semblait définitivement réfractaire à traverser les flots et les esprits pour accéder jusqu'à nous. Pourtant, suite à un miracle auquel personne ne s'attendait, voici que débarque ce titre atypique, dans un quasi anonymat particulièrement gênant. Il est vrai que l'idée de sortir la suite d'un soft qui n'est jamais parvenu jusqu'à nos côtes reste un peu saugrenue, même si cette version dispose d'un DVD retraçant l'histoire du premier Xenosaga. En effet, il vous manquera toujours l'attachement aux personnages, ne se décantant qu'après une aventure vécue côte à côte. Néanmoins, passer à côté de ce RPG pour cette seule raison serait une cruelle erreur.
Après une preview et un test sur PC qui nous avait laissés assez froids (je sais, elle était facile), voilà que nous avons enfin pu jouer à une version Xbox de Cold War. Les défauts que nous avions soulevés ont-ils été corrigés ? Le jeu est-il au niveau des meilleurs jeux d'infiltration existants ? C'est ce que nous allons voir maintenant.
A l'heure où la NBA entame une nouvelle saison pleine de promesses, EA continue de lancer ses jeux de sports un à un sur tous les supports. Cette fois, lumière sur NBA Live 06 qui débarque tout juste sur PSP pour nous offrir un basket très spectaculaire et orné de prouesses techniques toujours plus improbables. Tony Paker et compagnie vous attendent donc pour enflammer une fois de plus les parquets américains.
Parmi les développeurs les plus inspirés par la Nintendo DS, Namco se fait de nouveau remarquer avec un titre dont l'originalité n'a d'égal que le plaisir qu'on prend à y jouer. Après le brillant Pac-Pix, Namco revient à un Pac-Man plus fidèle à l'esprit du jeu original et qui puise tout son intérêt dans son maniement au stylet.
Difficile, très difficile de développer le quatrième volet d'une série aussi connue et appréciée que celle des Civilization. En effet, les attentes des amateurs sont énormes, et le jeu se doit d'être meilleur que ses illustres aînés qui squattent quand même les disques durs de nombre de joueurs depuis le début des années 1990, date de la sortie du premier opus sur PC.
Dead To Rights est un jeu qui n'a pas vraiment marqué les esprits, malgré une bonne ambiance et un vrai plaisir de jeu. Sorti dans l'ombre de Max Payne et compagnie, le soft de Namco a malgré tout eu assez de succès pour qu'une suite soit mise en chantier. Seulement cette fois, c'est WideScreen Games qui s'est attelé à la tâche en décidant de donner au jeu une dimension encore plus bourrine. Le résultat ? : Kitsch, énervant et décevant au possible.
Dead To Rights est un jeu qui n'a pas vraiment marqué les esprits, malgré une bonne ambiance et un vrai plaisir de jeu. Sorti dans l'ombre de Max Payne et compagnie, le soft de Namco a malgré tout eu assez de succès pour qu'une suite soit mise en chantier. Seulement cette fois, c'est WideScreen Games qui s'est attelé à la tâche en décidant de donner au jeu une dimension encore plus bourrine. Le résultat ? : Kitsch, énervant et décevant au possible.
C'est marrant, ça. Alors qu'il y a encore quelques temps on voyait arriver de multiples jeux de sports extrêmes, il n'y a aujourd'hui pratiquement plus que Tony Hawk pour représenter le genre. Le skate virtuel est un filon qui marche et que ne manque pas d'exploiter Activision avec une septième version de sa série fétiche. Même pas peur.
C'est marrant, ça. Alors qu'il y a encore quelques temps on voyait arriver de multiples jeux de sports extrêmes, il n'y a aujourd'hui pratiquement plus que Tony Hawk pour représenter le genre. Le skate virtuel est un filon qui marche et que ne manque pas d'exploiter Activision avec une septième version de sa série fétiche. Même pas peur.
C'est marrant, ça. Alors qu'il y a encore quelques temps on voyait arriver de multiples jeux de sports extrêmes, il n'y a aujourd'hui pratiquement plus que Tony Hawk pour représenter le genre. Le skate virtuel est un filon qui marche et que ne manque pas d'exploiter Activision avec une septième version de sa série fétiche. Même pas peur.
Et si ces cauchemars, incessants, lugubres et malsains n'étaient pas les fruits pourris de votre inconscient ? Seulement des visions, des projections dans une réalité qui est plus proche que vous ne le pensez. Comment de fait garder sa santé mentale intacte, détachée de tout ce sang séché sur des souvenirs terrifiants ? Mon pauvre Jack. Si seulement quelqu'un avait su vous écouter à l'époque, nous ne serions pas à nous terrer dans cette chambre minable. Ne lâchez pas votre couteau. Il est la seule échappatoire qu'il nous reste. Pour notre salut, vivant, ou mort. Le verrou vient de sauter.